L'autre côté de la vie

Une femme m’a offert un livre : L’autre côté de la vie de Philippe Ragueneau. Le texte est affligeant.

La vérité passe difficilement, le mensonge est très apprécié inconsciemment. Comme, nous retenons les souvenirs désagréables plutôt que les agréables.

Une fois de plus, ce n'est pas que je n'y crois pas, mais parce qu’au contraire j'y crois et que je connais très bien le sujet.

Pour reprendre mon expression : je connais les lanternes et je connais les vessies ainsi que leurs utilités et usages, mais ce n'est pas une raison pour me faire prendre les vessies pour des lanternes !

Ce livre aura eu le mérite de déclencher en moi le désir de lever un peu plus le voile et de faire un peu plus le ménage que dans mes vidéos YouTube. Libre à chacun de suivre la voie qu'il désire : connaître et utilisé ou se fourvoyer.

Le but de ce livre est de nous faire croire que l’auteur est en communication avec sa femme décédée. Vous pouvez réaliser aisément avec un peu de réflexion, qu'il y a un souci avec ces passages.

Page 242 : l'histoire de la canne oubliée au kiosque à journaux.

Il va manger des moules frites accompagnées de sa « disparue Catherine », mais il nous apprend qu’il ne peut pas attendre entre les plats sans lire un journal. Il a la chance d’être accompagné de sa femme, pourquoi il a besoin de lire le journal entre les plats alors ? De plus, une personne qui a été déjà mangée des moules frites se posera la question : pourquoi il lui faut un journal entre les plats ?

Il part en marchant avec une canne, pas par esthétisme mais par nécessité, il se rend à un kiosque à journaux. Puis il repart sans ça canne, sans s'en rendre compte, peut-être une magnétiseuse se trouvait là, mais l'histoire ne nous le dit pas ! Puis il va manger ses moules frites tout en discutant avec Catherine. Au moment de repartir, il s'aperçoit qu'il n'a plus sa canne. Branle-bas de combat, tout le monde l'aide, mais pas de canne. Alors là, miracle, Catherine l'informe : « tu as oublié ta canne au kiosque de journaux » en sortant du restaurant.

Pourquoi ne pas lui avoir dit dès qu'il est sorti du kiosque « tu as oublié ta canne » ?

Il est sorti de chez lui avec sa canne, il a été au kiosque de journaux, puis au restaurant. La canne n’était pas au restaurant, forcément, il ne restait que le marchand de journaux.

Je vous le dis : vous pouvez facilement être en relation avec « les autres » (référence à un film)

On pourrait me dire : bien que ce livre soit ridicule, il a quand même une utilité, puisque des personnes ont écrit des remerciements. Déjà, est-ce que ces personnes se sentent toujours aussi bien ?

De plus, ce livre ne révèle aucun moyen pour rester en contact avec ses proches.

Page 257 : il est dit : « Je ne sais pas, je n'ai pas de conseil à donner pour parvenir à communiquer ». Pourtant cela n'est vraiment pas compliqué. Je vous offre la technique dans une de mes vidéos :  https://www.youtube.com/watch?v=0xfElE-KYF8 dans laquelle j’explique comment procéder.

Enfin, donner de faux renseignements dans un premier temps peut sembler une bonne idée. En réalité, c'est très dangereux.

Je vais utiliser un exemple pour vous l’expliquer :

  • Imaginez : des parents qui ont leur enfant qui part dans une contrée inconnue. Un affabulateur écrit un livre. Dans un premier temps, cela peut remonter le moral des parents, mais les informations erronées vont les duper, leur faire commettre des erreurs et causer du tort à leur enfant. Il leur sera dit qu'il est possible de communiquer avec tel procédé, ils obtiendront une communication mais ce ne saura pas leurs enfants. Le fait d'utiliser un tel procédé pourra être dangereux, voire très nuisible pour leur enfant pour diverses raisons.
  • Si dans cet ouvrage, il est dit consommer les baies bleues à point blanc de l'arbuste à feuilles rouges, cela deviendra nuisible à leur tour, lorsqu’ils s’y retrouveront. Car, ils consommeront les seuls fruits qu'il ne fallait pas manger. Il serait fastidieux de citer toutes les raisons de la nuisance d’un tel ouvrage.

Dans le texte qui va suivre je vous explique quelques raisons de la duplicité du livre. Les zones en bleu correspondent à des passages du livre, le paragraphe qui suit vous donne une explication de la fausseté. Ici, je ne cherche pas à rentrer dans le détail, cela sera fait dans le livre dont je me suis mis en écriture dans lequel vous trouverez toutes les informations utiles pour savoir, pour assimiler et surtout pour pratiquer. Ce livre, aura eu le mérite de me faire sortir de mon droit de réserve. Avant la sortie de mon ouvrage, vous avez la possibilité de vous rendre sur ma chaîne YouTube où vous verrez que je suis un excellent cinéaste !

J’ai lu ce livre jusqu'au bout, ce qui me permet de vous offrir l’explication de texte qui suit :


Page 78 : ils pensent tous les 2 qu'il n'y a plus aucun espoir et nous pouvons comprendre qu’ils ont besoin d'espérer pour pouvoir continuer à survivre en se persuadant qu’ils seront capables de rentrer en communication l'un avec l'autre. Ce début était prometteur, mais.

Page 94 : Nous apprenons que l'auteur depuis le 17 septembre 1981 pense qu’Alain qui s'est suicidé à l'hôpital (il est humain de se faire des reproches) l’aide pour retrouver les objets qu'il perd. Cette compensation que son cerveau a faite, lui a certainement permis de ne pas plonger comme Alain.

À partir de ce moment, il est tout à fait logique qu'il ait reproduit un schéma identique lors de la disparition de son épouse.

Je profite de ce passage pour vous donner une explication sur l’événement énervant qui est de retrouver un objet devant soi alors qu'on le cherche partout depuis longtemps. Notre cerveau physique a quelques particularités. En autre, lorsque quelque chose le dérange énormément ou le stress d'une façon exagérée, il n'imprime plus et il bugge. C'est pour cette raison, qu'il est préférable d'arrêter de chercher, de se calmer et là par enchantement, nous retrouvons immédiatement ce que nous cherchions.


Page 106 : nous sommes toujours avec un homme désespéré, ce qui est fort compréhensible. Qui recherche désespérément des signes.

Page 109 : il y a le récit du chéquier retrouvé sur le sol de la voiture. Et pourtant, le stress, le désespoir et le laisser-aller font faire une multitude de bêtises et comme, je l'ai expliqué tout à l'heure, après accalmie l'objet est retrouvé, ici le chéquier.

N'est-il pas possible que cela soit parfois l'œuvre d'une main bienfaisante, bien sûr que oui, mais cela se déroule toujours d'une façon beaucoup plus spectaculaire et surtout déroutante.


Page 130 : il fait une chute dans l'escalier et se casse 4 côtes. Heureusement, « elle » lui dit de consulter. Parce que lui ne s'en rend pas compte. Nous serions presque dans du grand n'importe quoi, avoir 4 côtes de casser est ne pas s’en rendre compte !


Page 135 : de faux signes : clés sur tapis de la voiture et batterie.

Un vrai signe est par exemple : des lettres qui se forment sur le sol d'une pièce avec du sable d'une autre région.

Pour la batterie que sa femme aurait miraculeusement réparée. Il est important de savoir que les nouvelles batteries ont les éléments qui cassent (et il n'est plus possible de les ouvrir pour rajouter de l'eau). Sa femme aussi adorable soit elle ne peut réparer un objet détruit. Elle aurait pu faire autre chose pour arranger la situation, mais pas cela.

En revanche, qu'il s'y soit mal pris pour faire démarrer son véhicule cela ne nous étonnerait pas vu ses piètres qualités de chauffeur Comme il nous les narre à plusieurs reprises.


Page 138 : Dans le domaine des fabulations nous trouvons : elle se retrouve au milieu de guépards non apprivoisés et l’un des fauves lui mord solidement la cheville. Il a du mal à lui ouvrir la gueule (Cela me rappelle un film avec une histoire de crocodile) et elle n'a pas de blessure.

Je préfère m'abstenir de tout commentaire. L'histoire en elle-même est suffisante.


Page 149 : un chat sent la présence de Catherine.

Cela en revanche, c'est tout à fait plausible. Les animaux comme les jeunes enfants voient sur différents plans suivant leur degré. Ils ont une perception élargie au niveau physique, tant qu'ils n'ont pas été endommagés. Cela leur permet par exemple de savoir quand l'être qu'ils aiment se rapproche de leurs habitats.

Page 151 : lorsqu'il lui demande s'il pourra la voir ? Sa réponse est non.

Pourtant dans la réalité, cela ne pose aucun problème et aucune difficulté. C’est très facilement réalisable.


Page 166 : Il trouve tout content une photo de sa femme Catherine. Il veut la poser sur la commode de sa chambre face à son lit.

Elle lui dit : « J’aime que tu penses à moi. J’aime que tu m'appelles quand le spleen te gagne. Mais ne soit pas maso, quand même. »

Il lui répond : « Mais des photos de toi, il y en a dans le salon, dans la cuisine… »

Elle répond : « Oui, mais celle-là, tu vas passer devant vingt fois dans la journée. Et, vingt fois, tu auras un petit pincement au cœur, ce qui est bien normal. »

Il répond : « ne te fais pas de soucis, ma chérie. J’aime aussi me rappeler la belle femme que tu étais. »

Il y a dans cette succession de mots des petites choses qui ne vont pas : Personnellement, malgré mes performances olympiques, je passe dans la journée plus souvent dans le salon et la cuisine que dans la chambre ! Puisqu’elle manipule les objets, si elle ne voulait pas qu'il mette cette photo, pourquoi l'avoir laissé ?

Pensez-vous réellement que lorsque vous avez la chance d'être toujours auprès de l'être aimé, vous avez besoin d'une photo pour vous en rappeler ?

Avez-vous les mêmes besoins en Afrique et en Antarctique ? La question peut paraître curieuse, mais je ne peux pas vous mettre toute la nourriture prête à être consommée.


Page 168 : nous apprenons une fois de plus qui connaît des personnes dans les éditions dans le cas présent : Jacques Grancher, un de ces éditeurs.

Il est évident que le fait de connaître de nombreux éditeurs et d’être en cheville avec cette profession permet d'éditer facilement n'importe quel ouvrage.


Page 170 : Un jeune homme marchant dans ma direction, tenez mon portefeuille à la main et il dit « il était sur un siège » il se pose la question : si Catherine ne m'avait pas obligé à me retourner, ce jeune homme m’eût-il rendu mon portefeuille oublié ? Pas sûr.

Il est évident, qu'un voleur dans le métro se promène avec le portefeuille à la main, alors qu'il vient de le chaparder.


Page 170 : Il trouve des places pour garer sa voiture grâce à son épouse.

Pourtant plus loin, nous apprendrons qu’il a toujours des difficultés pour se garer et d’autre fois, il a peur d'être en retard à ses rendez-vous faute de place de stationnement. Pour quelqu'un qui trouve toujours des places grâce à son épouse !

Le fait de trouver une place pour stationner à chaque fois peut avoir 2 raisons :

1) c'est seulement le cerveau qui retient ce qui l'intéresse pour démontrer ce que l'on croit. Dans ce cas, le cerveau oublie les quinze fois où l'on n'a pas trouvé de place et retient les sept fois où on a trouvé une place.

2) Nous avons réellement une chance extraordinaire. Elle ne doit jamais être utilisée pour s'attirer une très grande fortune ou autre faveur en réalité nuisible. Dans mon cas, je ne pense même pas à trouver une place, je ne l’espère même pas et je ne le souhaite pas. Mais, cela se produit avec un certain agacement de certains de mes proches. Voici une anecdote : moi et d'autres membres de ma famille devaient nous rendre chez un notaire, il a un petit parking. Un membre de ma famille a pris à bord de sa voiture certains membres de la famille, il arriva le premier, pas de place, craignant que moi lorsque j'allais arriver je trouve une place, il fit 3 fois le tour sans aucun résultat. À peine venait-il de partir que je me présentais. Et là, par « enchantement » se libéra une place juste devant moi. La famille dans la première voiture ayant assisté à la scène vint à moi avec le sourire quant au chauffeur, il était, nous dirons, débité.

Ce type d'événement n'a rien à voir avec des êtres chers ayant changé de plan avant nous.


Page 173 : Catherine dit : « j'ai une apparence corporelle qui t’est invisible, certes, mais qui est dotée de toutes les fonctions d'un corps physique. Je peux voir, entendre, toucher, sentir un parfum. Et, bien sûr, je peux rire ou sourire, je peux aimer, je peux communiquer et me faire comprendre. Ce corps très particulier que j'habite est libéré des servitudes, des déchéances et des pesanteurs de mon corps physique, mais c'est tout. Il est, à la fois, d'essence spirituelle et humaine, une étape en quelque sorte, une transition, un état intermédiaire… »

Il lui répond : « si je pouvais te voir, si tu pouvais m’apparaître un jour - ce qui, m’as-tu dit, et rarissime mais non impossible - quelle serait ton apparence ? »

Elle répond : « elle serait identique à celle que tu as connue, les disgrâces et les souffrances en moins. Mon apparence, pour toi, serait celle de la femme que tu as rencontrée pour la première fois. »

Bien entendu, il n'y a aucune relation avec le corps physique. Toutes les perceptions se font d’une façon différente et absolue. Le terme « doté de fonctions beaucoup plus extraordinaires » est exact, mais ne permet pas d’assouvir certaines viles envies.

Ce « corps » n'est pas libéré de toutes les servitudes, déchéances ou pesanteurs.

Quant à l'apparence, elle peut être modifiée pour être plus représentatif et surtout plus acceptable par le cerveau humain.


Page 175 : il se sent obligé de nous certifier qu’il n'a lu aucun des nombreux livres qui existent sur ce sujet.

Mais, toute la page 209 est occupée par un texte de Monseigneur Bougeaud, évêque d’Angers, qu’il n’a pas lu !

Et surtout, page 227, il nous livre qu'il a beaucoup de livres sur le sujet et entre autres sur la réincarnation.

Dès qu'une personne se sent dans l'obligation de dire qui ne ferait jamais ça, qu’il n'a jamais fait ça ou qu’on peut lui faire confiance, c'est pour essayer de se convaincre lui-même et surtout, chercher à nous tromper consciemment ou inconsciemment. Par exemple, si vous confiez les clés de votre appartement à quelqu'un, ne trouverez-vous pas étrange, que cette personne se sente obligé de dire « ne vous inquiétez pas, je ne fouillerai nulle part dans votre résidence.


Page 175 : « Dans certains domaines du surnaturel, toutes les églises se sont plantées, y compris la nôtre. »

En dehors du côté blasphématoire, il y a surtout une très grande ignorance des écritures. Dans tous les livres saints, il y a plusieurs niveaux de lecture. Toute personne réellement intéressée trouvera toutes les réponses si elle prend le temps de l'enseignement.

Pourquoi personnellement, j'ai pris la décision d'écrire ce livre ? Comme je l'ai expliqué un peu plus haut, c'est seulement pour aider ceux qui désirent sincèrement apprendre. Il y a de plus en plus d'embûches et la grande majorité a perdu le goût de la connaissance et le bon sens. Cela aide le côté obscur à gangrener.

Page 176 : à partir de cette page tout part complètement en vrille. La confusion est grande, avant de recommencer à raconter les histoires du passé de leur vie :

  • Nous vivons presque tous dans l’imagerie, mais l’imagerie est très loin d’être réductrice et simpliste et peut même ouvrir des portes…
  • La souffrance des bêtes n'est, malheureusement, pas la seule. Il y a également la souffrance des humains.
  • dire que : « les bêtes tuent pour se nourrir et non pour le plaisir, et que, de surcroît, elles tuent sans faire souffrir. » C'est vraiment mal connaître les animaux.
  • « Le chat fait souffrir le mulot pour garder intact son réflexe d’autodéfense », peut-on penser que le fait de martyriser une souris permettra au chat d’être plus à même de se défendre contre un molosse ? En extrapolant, elle est capable de dire que le molosse torture le chat pour garder son autodéfense !
  • Nous avons souvent sorti des crocs de nos chats des mulots qui n’avaient pas une égratignure. Cela me fait penser à mes voisins qui ont souvent sorti de la gueule de leurs chiens des chats qui n'avait pas une égratignure !
  • Pourquoi tant de souffrance peut exister ? Nous pouvons répondre à cette question par un point de vue très simple. Les Cathares pensaient que la terre n'avait pas été créée par Dieu, mais par le diable. Détail amusant, pour leur prouver qu'ils avaient tort les femmes, les enfants et les hommes furent brûlés vif ! Nous pouvons aussi dire que la réponse va être très complexe et que surtout elle n'est pas à l'ordre du jour, ce sujet n’est pas dans la lignée de « l’existence après la mort » terme vous l'aurez compris que je n'apprécie pas.
  • « Il n'y aurait pas de vie sans la mort – de vie sur terre ; il y a le jour et il y a la nuit ; le blanc et le noir ; … » C'est une phrase creuse, sans fondement, désirant passer pour philosophique.
  • Sans la mort, la vie se détruirait elle-même par pourrissement… La planète couverte d'êtres se tenant au coude à coude, se piétinant. Au fond ce qu'il veut nous faire croire c’est que sans la mort il aurait quand même la mort par pourrissement ! « Les êtres coude-à-coude ou réglementation des naissances » comme message de l'au-delà, chapeau bas !

Un moment dans le livre, il est fait notion que chaque âme doit à un moment ou à un autre s'incarner dans le but de pouvoir librement choisir entre le bien et le mal. Et, que c’était la seule alternative qui nous soit laissée ouverte que toutes les autres nous sont imposées.

Avec ces quelques lignes nous comprenons tout de suite que son auteur s'est contenté de regarder (sans les lire) quelques ouvrages et sans les comprendre. Il a fait un mixage grossier.

En réalité : chaque être n'a nullement le besoin et encore moins l'obligation de s'incarner.

Il est navrant de pouvoir imaginer que nous avons qu'un seul choix à faire.

Le plus regrettable est la confusion entre les choix, voir les buts et l'essence même de tout.

Dans cette « autre vie », rien ne te fait peur jamais ? - Mais non ! Au contraire. Tout me rassure.

Preuve s'il en avait besoin que tout ne soit que supercherie dans ce livre. Il est important de savoir que dans « le premier cercle de lumière » presque tout au contraire fait peur ou du moins peut-être fort désagréable.

Il est également fait allusion dans ce livre page 184 que les chats ont tous un sixième sens. Il ne faut pas oublier que l'auteur a déjà écrit 6 autres livres sur les chats et les a en très grande admiration, ce qui en soi est bien, mais altère le jugement.

Il profite de ce passage pour faire une fois de plus de grandes confusions : d'abord entre le 6e sens et un système mystérieux d’ondes réfléchies, qui n’ont rien en commun. D'autre part, les chats ne sont ni plus ni moins doués que les autres espèces. Et, il y a dans leur catégorie des individus plus ou moins réceptifs. Enfin, lorsqu'un animal réagit aussi brutalement et surtout désagréablement comme il nous est compté, Il ne peut s'agir de la présence d'un être aimé, mais… Trop long pour ce passage.


Page 213 « elle m'a dit souvent que notre éternité commençait sur terre… Chaque acte de notre vie construit notre éternité… Un acte de bien qui vient annuler le mauvais choix »

Ceci est une fois de plus complètement faux. Notre éternité ne commence pas sur terre. Au sujet des actes bien entendu, il fait référence au bouddhisme ! J’en parlerai également. Ce qui est étrange, c’est la critique faite en autre page 227 !


Page 217 : « Des pages et des pages sur ce qui se passe de l'autre côté ou est supposé s'y passer ».

Le doute ne devrait pas être permis quand on a la chance de savoir.


Page 219 : « le zona qui, depuis un mois, s’accroche à ma hanche droite ma sortie du sommeil aux aurores… Côté zona, bon, c'est normal : le Zovirax de minuit est déjà loin »

Être arrivé à la page 219 en écriture sur l'au-delà et ignorer toujours les « faiseurs de miracles » me paraît incompréhensible, comment sa femme qui le guide ne peut pas le conseiller et lui expliquait qu'un mois de souffrance au lieu d'une petite semaine n'est pas normal.


Page 222 « les lecteurs qui m'écrivent me demandent souvent : comment Catherine communique-t-elle avec vous ? - Je me le demande, cela relève, je pense, de la télépathie ».

Après tant de temps passé avec elle, comment fait-il pour ne pas pouvoir répondre à la question ? La réponse est pourtant très simple.


Page 227 : « il ne me semblait pas charitable de ruiner cette espérance qu’est le mythe de la réincarnation… Pour que les pauvres se tiennent tranquilles. Très simple, ne pleurez pas, ne vous révoltez pas. D’autres vies vous attendent débordante de joies et de richesses. Demain, peut-être, vous serez maharadja ».

Pas charitable en début de livre mais charitable en fin de livre ! Même en imaginant, qu'il aurait été réellement en communication avec sa femme, comment celle-ci, serait-elle capable en si peu de temps de connaître tout.

Un enfant qui rentre dans un établissement scolaire en maternelle, peut-il affirmer que les facultés n'existent pas ? Que c'est un mythe, pour que les écoliers restent sages…


Page 231 : Après des blablas. Tout en bas, par erreur, une info vraie : « Je suis dans ma maison. Je l’ai aimé et j’y suis toujours bien ».

Il est vrai que parfois, des êtres restent persécutés par ce qui leur semble le plus rassurant. J'en reviendrai dessus.


Page 232 : « les authentiques messagers de la foi et de la vérité sont extrêmement rares. D’ailleurs ceux-là parlent peu, ils n'en font jamais commerce ».

Dans son cas, heureusement qu'elle parle peu ! Sinon qu'est-ce que cela serait ! Rassurez-moi, l'argent gagné par ce livre a bien été dans son intégralité versé à des œuvres ? Dans le cas contraire, vu que vous avez dit « que les authentiques messagers ne font pas commerce » cela signifierait bien que là ce n'est pas le cas !

Il y a également une petite allusion au spiritisme. C’est une façon assez habile pour utiliser correctement la langue de bois. Des dangers certes il y en a, mais pas ceux qu'ils évoquent. Cela fera également partie d’un chapitre.


Page 234 : « pourquoi Dieu frappe-t-il si souvent des couples que rien ne séparait, alors que survivent tant d'autres pour lesquels la vie à deux est un enfer ? »

Pourquoi devrait-il être toujours dans les mauvais coups ?

S’est-il renseigné auprès de l'Insee pour connaître les statistiques, bien sûr que non, d'ailleurs l'inverse est vrai. Comment peut-il savoir si la vie des autres couples est un enfer ?


Page 235 : il pose une question fort intéressante ! « Que devient le corps physique a la mort ? »

Question très compliquée ! La réponse est tout aussi intéressante « il disparaît dans la terre, l’eau ou le feu ». Elle a oublié les momies ! Parfois plus de 5 000 ans.

Ce qui est bien ! Ils n’ont pas de complexe : « j’étais la plus belle, … La plus accomplie ». Son vrai prénom c’est modeste ! J’allais oublier la tentative de comparaison discrète avec la résurrection du Christ.

En dehors, du côté grotesque des propos, qui me permettra de rebondir plus tard. Il faut que vous sachiez que pour tenir de tels propos, il faut vraiment être encore dans une phase très basse, très imprégnée de la matière physique grossière.


Page 236 : il est dit que Dieu ne s'oppose pas à ce que satan nous éprouve. Mais c'est lui qui fixe les limites.

De tels propos sont inacceptables et complètement erronés.

Les tout jeunes enfants que la mort enlève à l'aube de la vie non pas eu le loisir de choisir entre le bien et le mal… Ils sont semblables à des anges et vont atteindre le même niveau de développement que les adultes arrivés ici.

Ils n'ont aucune comparaison avec les anges, leur structure n'est pas la même, ils ne font pas partie du même règne.

Toutefois, il y a une chose de presque vrai, les enfants, les étudiants et les universitaires pour se déplacer, passent par des voies de circulation.

Quand elle a raison de la courte durée de leur existence physique, il y a de nombreuses raisons, mais il ne faut pas croire qu'ils ne choisissent pas entre le bien et le mal, ces termes sont toutefois une vision physique.


Page 238 : « je peux éprouver les mêmes sensations gustatives que les tiennes, ou les miennes du temps où je vivais près de toi ».

C’est faux et c’est un des supplices que les humains se créent eux-mêmes. (Le supplice de tantale, peut-être).


Page 239 : Elle n'a pas le droit de parler de son environnement.

L’affabulation a ses limites. En réalité, il n'est pas question d'environnement unique au niveau où se trouverait une personne décrite dans ce livre.


Page 240 : « ici, l'amour ouvre toutes les portes même les plus verrouillées ».

Le souci est que l'amour est un sentiment très complexe, très fluctuant, surtout très instable et pouvant basculer très rapidement et facilement à l'opposé.

Pour ces raisons, l'amour n'est pas une finalité.


Page 241 : alors que dans les pages précédentes, elle dit tout connaître, tout savoir et d'avoir pu tout apprendre, elle ne peut pas répondre à une question toute bête : est-ce que d'autres témoignages disent la même chose ?


N'oubliez surtout pas que malgré les critiques de ce livre, je sais que la fin n'est pas une fin et vous pouvez en être persuadés. Mais de grâce, si cela vous intéresse ne vous y prenez pas à la dernière seconde. Si vous désirez voyager chez les Pygmées ou au pôle Nord n'attendez pas de vous y trouver pour vous renseigner. Tout est logique et rationnel, le monde physique se contente de la médiocrité chose qui est impossible ailleurs.

Je vous souhaite d’essayer de vivre des moments vraiment intense et réel.